- Sousous
Oui les sousous sont très utiles pour les accros du shopping et les copains des accros du shopping qui sont obligés souhaitent couvrir leur bien aimée de cadeaux.
En Italie, soyez prévoyants : bon nombre de commerces n'acceptent pas les cartes de crédit, pensez donc à partir avec suffisamment de liquide (vous aurez une commission bancaire pour chaque retrait d'argent à l'étranger, mieux vaut donc limiter les retraits une fois sur place -parce que OK, elles ne sont pas si élevées que ça, mais 2€ par ci et 2€ par là font bientôt une coquette somme pour un p'tit cadeau...enfin moi j'dis ça...comme ça...-).
Les commerces ou restaurants acceptant la carte de crédit auront généralement un macaron sur leur devanture indiquant "CartaSi".
En Italie, soyez prévoyants : bon nombre de commerces n'acceptent pas les cartes de crédit, pensez donc à partir avec suffisamment de liquide (vous aurez une commission bancaire pour chaque retrait d'argent à l'étranger, mieux vaut donc limiter les retraits une fois sur place -parce que OK, elles ne sont pas si élevées que ça, mais 2€ par ci et 2€ par là font bientôt une coquette somme pour un p'tit cadeau...enfin moi j'dis ça...comme ça...-).
Les commerces ou restaurants acceptant la carte de crédit auront généralement un macaron sur leur devanture indiquant "CartaSi".
- Restaurants
Le laïus sur le "Oh qu'est ce qu'on a bien mangé quand même !", viendra un peu après, mais là, ce n'est pas de cela dont il s'agit, mais plutôt des "mauvaises surprises" que l'on pourrait avoir au moment de l'addition (et qui du coup, provoquent une très mauvaise digestion de ces pâtes qui paraissent tout d'un coup beaucoup moins délicieuses...).
Les menus italiens se composent de 4 plats : les antipastis, que l'on pourrait associer à des amuses-bouches, l'entrée, généralement composée de pâtes ou de légumes, le plat principal et le dessert. Bien sûr, personne ne vous demande de commander la totale (espèce de gourmands !!!) mais même pour des petits mangeurs, la note peut être vite salée.
Explication : Le plat ne comprend pas l'accompagnement (contorno), qui lui est à prendre en plus, donc vous vous en tirez à chaque fois pour un minimum de 15€, juste pour un plat. Il suffit que vous ayez envie de prendre une entrée, ou un dessert, vous en aurez rapidement pour 20€ au minimum.
Et le petit plus italien : l'eau ni le pain, ne sont compris dans le menu, votre addition comporte donc une ligne supplémentaire appelée coperti (couverts), en moyenne de 2€ par personne, avec enfin la bouteille d'eau à 1,50€ en général.
Nous sommes allées assez souvent dans des Enoteca (bars à vins) qui permettent de déguster des vins de la région traversée, accompagnés d'une bruschetta (tartine grillée) ou d'un assortiment de charcuterie ou fromage. Là, vous vous en tirerez en général pour 10€ et vous aurez dégusté de vrais produits locaux (hic !).
Les menus italiens se composent de 4 plats : les antipastis, que l'on pourrait associer à des amuses-bouches, l'entrée, généralement composée de pâtes ou de légumes, le plat principal et le dessert. Bien sûr, personne ne vous demande de commander la totale (espèce de gourmands !!!) mais même pour des petits mangeurs, la note peut être vite salée.
Explication : Le plat ne comprend pas l'accompagnement (contorno), qui lui est à prendre en plus, donc vous vous en tirez à chaque fois pour un minimum de 15€, juste pour un plat. Il suffit que vous ayez envie de prendre une entrée, ou un dessert, vous en aurez rapidement pour 20€ au minimum.
Et le petit plus italien : l'eau ni le pain, ne sont compris dans le menu, votre addition comporte donc une ligne supplémentaire appelée coperti (couverts), en moyenne de 2€ par personne, avec enfin la bouteille d'eau à 1,50€ en général.
Nous sommes allées assez souvent dans des Enoteca (bars à vins) qui permettent de déguster des vins de la région traversée, accompagnés d'une bruschetta (tartine grillée) ou d'un assortiment de charcuterie ou fromage. Là, vous vous en tirerez en général pour 10€ et vous aurez dégusté de vrais produits locaux (hic !).
- Idée reçue...
L'expression "vol à l'italienne" a parfois la vie dure car certains imaginent qu'un voyage en Italie s'accompagnera forcément d'une petite visite sympathique au commissariat du coin pour cause de vol (sacs, valises, que sais-je encore??). Vous me direz, ça vous permettrait primo, de faire plus amples connaissances avec les gendarmes locaux, les carabinieri, vous êtes comme ça tout de suite dans l'ambiance, et deuxio (enfin secondo), vous subissez un cours de perfectionnement d'italien accéléré (vous apprenez comme cela à dire "portière fracturée", "valises", "vol", "grand brun qui court très très vite", etc.).
BREF, nous n'avons pas eu cette chance (et je ne sais donc toujours pas dire en italien ces phrases Ô combien utiles), puisque non, pas de vol à constater à la fin de notre séjour.
On ne vous volera pas plus qu'à Paris, Londres ou Madrid, le tout est de faire attention et d'être vigilants. Pour la voiture (avec les valises dans le coffre), nous avons par exemple, préféré les parkings surveillés.
BREF, nous n'avons pas eu cette chance (et je ne sais donc toujours pas dire en italien ces phrases Ô combien utiles), puisque non, pas de vol à constater à la fin de notre séjour.
On ne vous volera pas plus qu'à Paris, Londres ou Madrid, le tout est de faire attention et d'être vigilants. Pour la voiture (avec les valises dans le coffre), nous avons par exemple, préféré les parkings surveillés.
- La conduite italienne : un art de
mourirvivre
Idée reçue également diront certains... et là par contre, j'ai envie de dire que ceux-là seront de mauvaise foi.
Puisque nous avons loué une voiture, nous avons été confrontés en direct live à un art de vivre selon certains, une inconscience selon d'autres : les Italiens au volant.
Alors, là, du lourd, du très lourd... comment expliquer, ou comment illustrer plutôt mes propos... (par ici peut-être ?)
Extraits de l'Alexpedia de la conduite à l'italienne (ou la différence subtile entre la théorie et la pratique)
phares (nm.) ;
Théorie : éclairages présents sur une voiture, il est obligatoire qu'ils soient allumés en permanence.
Pratique : ils sont effectivement allumés en permanence (oui, la discipline est parfois là) sauf dans les tunnels, c'est beaucoup plus drôle quand on ne voit rien ! (et qu'on n'est vu de personne! je me marre, je me marre...).
ligne blanche (nf.) ;
Théorie : ligne continue, qu'il est interdit de franchir.
Pratique : peintures tribales servant de décorations champêtres qui sont uniquement là pour changer la monotonie des lignes discontinues (on se demanderait presque si les franchir n'est pas obligatoire...)
distances de sécurité (nf.) ;
Théorie : distance raisonnable entre deux voitures permettant d'avoir des réflexes suffisants en cas de freinage brutal (ou le temps de dire "Un Y, deux Y", vous vous souvenez ??).
Pratique : Késako ? (ou peut-être que les unités de mesure ne sont pas les mêmes et que les mètres chez nous se traduisent en centimètres chez eux, allez savoir...ou que le Y est beaucoup plus rapide à prononcer...)
panneaux stop (nf.) ;
Théorie : panneau de forme ronde, qui oblige tout conducteur à marquer un temps d'arrêt.
Pratique : re-Kesako ? Ah, la jolie sculpture là ? C'est pas du Braque ? Ou plutôt du Vasarely ?
(oui, les Italiens sont très portés art, les origines sans doute...)
bande d'arrêt d'urgence (nf.) ;
Théorie : voie sur autoroute située à droite faite pour s'arrêter en cas d'urgence, comme son nom l'indique.
Pratique : Ah, bande d'ARRET d'urgence ?? j'avais pas compris moi, j'pensais que c'était "bande pour les urgences" !!! (c'est par cette malencontreuse confusion que vous vous retrouvez finalement à 4 voies sur une autoroute...).
Le meilleur est quand même lorsque nous avons vu des Carabinieri (gendarmes, je le rappelle) emprunter cette voie et que toute une file de voitures a suivi, au lieu de se cacher du grand méchant loup...z'ont vachement peur de l'autorité...que des rebelles !!
limitations de vitesse (nf.) le meilleur pour la fin... ;
Théorie : 50km/h en ville, 90km/h hors agglomération, 110km/h sur voie rapide et 130km/h sur autoroute (comme en France).
Pratique : quand on voit sur autoroute une Fiat Panda (veille génération je précise) qui vous double à toute vitesse alors que vous, vous êtes déjà 20km/h au-dessus de la moyenne (rhhho pas bien !), là, vous vous demandez d'une, si les panneaux de limitation de vitesse ne sont pas non plus confondus avec des sculptures urbaines et de deux, avec quoi ils boostent leur voiture !! (le plus drôle : leur nouveau slogan est "Panda, voiture officielle du "J'fais c'que j'veux" oui...effectivement...). Même cas avec des Fiat Uno... Imaginez donc maintenant ceux qui roulent en Maserati, c'est bien simple, je ne pourrais même pas vous dire si elles sont belles, on n'a tout bonnement jamais eu l'occasion d'en admirer une pendant plus d'une fraction de seconde...
J'en ai terminé avec mes méchancetés, je pense qu'on pourrait en dire encore bien plus sur la conduite de certains de nos compatriotes venant de certaines régions à risque niveau conduite (comme une certaine ville commençant par PA et finissant par RIS, mais je ne balancerai pas...).
En toute franchise et pour résumer, oui les Italiens conduisent vite, et le plus grand danger selon moi est qu'ils doublent sans aucune visibilité, par exemple dans un virage sur une route de montagne... C'est le seul moment où j'ai un peu grincé des dents, je l'avoue, mais sinon, si vous respectez vos distances de sécurité et ne les imitez pas niveau vitesse, tout devrait bien se passer. Un seul mot d'ordre : aiguisez vos réflexes !!!
Les places gratuites se font également très rares, vous vous verrez donc souvent dans l'obligation de prendre un parking souterrain (assez cher en général) ou une place avec horodateur (de 0,50€ à 2€ l'heure).
Un dernier conseil : ne vous garez jamais sur des places délimitées par des bandes jaunes, elles indiquent des places réservées pour les résidents, vous risquez donc une forte amende si vous êtes pris la main dans le sac ! (les Carabinieri sont beaucoup moins cools quand il s'agit des mauvais stationnements...).
Puisque nous avons loué une voiture, nous avons été confrontés en direct live à un art de vivre selon certains, une inconscience selon d'autres : les Italiens au volant.
Alors, là, du lourd, du très lourd... comment expliquer, ou comment illustrer plutôt mes propos... (par ici peut-être ?)
Extraits de l'Alexpedia de la conduite à l'italienne (ou la différence subtile entre la théorie et la pratique)
phares (nm.) ;
Théorie : éclairages présents sur une voiture, il est obligatoire qu'ils soient allumés en permanence.
Pratique : ils sont effectivement allumés en permanence (oui, la discipline est parfois là) sauf dans les tunnels, c'est beaucoup plus drôle quand on ne voit rien ! (et qu'on n'est vu de personne! je me marre, je me marre...).
ligne blanche (nf.) ;
Théorie : ligne continue, qu'il est interdit de franchir.
Pratique : peintures tribales servant de décorations champêtres qui sont uniquement là pour changer la monotonie des lignes discontinues (on se demanderait presque si les franchir n'est pas obligatoire...)
distances de sécurité (nf.) ;
Théorie : distance raisonnable entre deux voitures permettant d'avoir des réflexes suffisants en cas de freinage brutal (ou le temps de dire "Un Y, deux Y", vous vous souvenez ??).
Pratique : Késako ? (ou peut-être que les unités de mesure ne sont pas les mêmes et que les mètres chez nous se traduisent en centimètres chez eux, allez savoir...ou que le Y est beaucoup plus rapide à prononcer...)
panneaux stop (nf.) ;
Théorie : panneau de forme ronde, qui oblige tout conducteur à marquer un temps d'arrêt.
Pratique : re-Kesako ? Ah, la jolie sculpture là ? C'est pas du Braque ? Ou plutôt du Vasarely ?
(oui, les Italiens sont très portés art, les origines sans doute...)
bande d'arrêt d'urgence (nf.) ;
Théorie : voie sur autoroute située à droite faite pour s'arrêter en cas d'urgence, comme son nom l'indique.
Pratique : Ah, bande d'ARRET d'urgence ?? j'avais pas compris moi, j'pensais que c'était "bande pour les urgences" !!! (c'est par cette malencontreuse confusion que vous vous retrouvez finalement à 4 voies sur une autoroute...).
Le meilleur est quand même lorsque nous avons vu des Carabinieri (gendarmes, je le rappelle) emprunter cette voie et que toute une file de voitures a suivi, au lieu de se cacher du grand méchant loup...z'ont vachement peur de l'autorité...que des rebelles !!
limitations de vitesse (nf.) le meilleur pour la fin... ;
Théorie : 50km/h en ville, 90km/h hors agglomération, 110km/h sur voie rapide et 130km/h sur autoroute (comme en France).
Pratique : quand on voit sur autoroute une Fiat Panda (veille génération je précise) qui vous double à toute vitesse alors que vous, vous êtes déjà 20km/h au-dessus de la moyenne (rhhho pas bien !), là, vous vous demandez d'une, si les panneaux de limitation de vitesse ne sont pas non plus confondus avec des sculptures urbaines et de deux, avec quoi ils boostent leur voiture !! (le plus drôle : leur nouveau slogan est "Panda, voiture officielle du "J'fais c'que j'veux" oui...effectivement...). Même cas avec des Fiat Uno... Imaginez donc maintenant ceux qui roulent en Maserati, c'est bien simple, je ne pourrais même pas vous dire si elles sont belles, on n'a tout bonnement jamais eu l'occasion d'en admirer une pendant plus d'une fraction de seconde...
J'en ai terminé avec mes méchancetés, je pense qu'on pourrait en dire encore bien plus sur la conduite de certains de nos compatriotes venant de certaines régions à risque niveau conduite (comme une certaine ville commençant par PA et finissant par RIS, mais je ne balancerai pas...).
En toute franchise et pour résumer, oui les Italiens conduisent vite, et le plus grand danger selon moi est qu'ils doublent sans aucune visibilité, par exemple dans un virage sur une route de montagne... C'est le seul moment où j'ai un peu grincé des dents, je l'avoue, mais sinon, si vous respectez vos distances de sécurité et ne les imitez pas niveau vitesse, tout devrait bien se passer. Un seul mot d'ordre : aiguisez vos réflexes !!!
- Stationnement
Les places gratuites se font également très rares, vous vous verrez donc souvent dans l'obligation de prendre un parking souterrain (assez cher en général) ou une place avec horodateur (de 0,50€ à 2€ l'heure).
Un dernier conseil : ne vous garez jamais sur des places délimitées par des bandes jaunes, elles indiquent des places réservées pour les résidents, vous risquez donc une forte amende si vous êtes pris la main dans le sac ! (les Carabinieri sont beaucoup moins cools quand il s'agit des mauvais stationnements...).
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